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Logement étudiant : le boom de la colocation

Trouver une bonne colocation peut être une solution attrayante pour de nombreux étudiants, offrant à la fois la possibilité de partager les frais et de créer un environnement social stimulant. Cependant, pour que cette expérience soit réussie, il est essentiel de suivre quelques conseils clés qui vous aideront à trouver la colocation idéale.

Tout d’abord, la communication est la clé. Lorsque vous cherchez une colocation, assurez-vous de bien communiquer avec vos futurs colocataires. Discutez de vos habitudes de vie, de vos préférences en matière de nettoyage, d’heures de sommeil et d’autres aspects importants. Une communication ouverte dès le départ peut éviter les conflits potentiels plus tard.

Ensuite, définissez vos priorités. Avant de commencer votre recherche, identifiez les critères importants pour vous. Cela peut inclure la localisation par rapport à votre université, les commodités à proximité, la taille de la chambre et bien sûr, le budget. Avoir une liste claire de vos priorités vous aidera à éliminer rapidement les options qui ne conviennent pas.

Utilisez des plateformes en ligne dédiées aux colocations. Il existe de nombreuses plateformes en ligne qui facilitent la recherche de colocations en fonction de vos critères. Des sites web et des applications comme Appartager, La Carte des Colocs, peuvent être utiles pour trouver des annonces correspondant à vos besoins.

Faites des visites en personne. Cela vous permettra de vous faire une idée précise de l’espace, de l’ambiance et de l’état général de la colocation. Posez des questions sur les équipements, les règles de la maison et les dépenses partagées pour vous assurer que tout est transparent.

Vérifiez la compatibilité avec les colocataires. La personnalité et le mode de vie de vos futurs colocataires sont des facteurs importants. Assurez-vous que vous avez des intérêts et des habitudes de vie compatibles pour éviter les conflits. Une colocation réussie repose souvent sur des relations harmonieuses entre les membres.

Lisez attentivement le contrat de location. Avant de signer quoi que ce soit, prenez le temps de lire et de comprendre le contrat de location. Assurez-vous que tous les détails, y compris le loyer, la durée du bail, les charges et les règles de la maison, sont clairement indiqués.

Enfin, faites confiance à votre instinct. Trouver une bonne colocation nécessite de se sentir à l’aise et en confiance avec les personnes avec lesquelles vous allez vivre.

En somme, une bonne colocation peut être une expérience enrichissante pour les étudiants, mais cela demande une préparation minutieuse.

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Du nouveau pour les travaux de rénovation

Depuis le 17 novembre 2022, les banques ont la capacité de proposer directement ce financement (dispositif déployé progressivement au sein des différents établissements bancaires ayant signé une convention avec l’État). Ce nouvel éco-prêt à taux zéro simplifie la démarche du demandeur
auprès de sa banque. Voici ses principales caractéristiques.

Montant et durée
Le montant de l’éco-PTZ Prime Rénov’ peut atteindre 30.000€ après prise en compte du montant de l’aide MaPrimeRénov’. Il permet donc de financer le reste à charge de vos travaux. Sa durée de remboursement peut aller jusqu’à 15 ans.

Pas de condition de ressources
Ce dispositif est accordé sans conditions de ressources. Il s’adresse à tous les propriétaires, qu’il s’agisse de leur résidence principale ou d’un bien destiné à la location.

Logements concernés
Le logement concerné doit être achevé depuis plus de 2 ans à la date de début des travaux. Dans le cas d’un bien destiné à la location, il devra l’être en tant que résidence principale. Celle-ci doit être occupée au moins 8 mois par an (sauf obligation professionnelle, raison de santé ou cas de force majeure).

Les principales catégories de travaux qui permettent de bénéficier de l’éco-PTZ, sont les suivantes :

  • Isolation thermique de la toiture et des murs extérieurs;
  • Isolation thermique des fenêtres et portes donnant sur l’extérieur;
  • Isolation des planchers bas;
  • Installation ou remplacement d’un chauffage ou d’une production d’eau chaude sanitaire ;
  • Installation d’un chauffage utilisant une source d’énergie renouvelable;
  • Installation d’une production d’eau chaude sanitaire utilisant une source d’énergie renouvelable.

Les démarches sont également simplifiées puisqu’il suffit de présenter la notification d’accord de MaPrimeRénov’ transmise par l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat) à la banque qui analysera uniquement la capacité de remboursement pour octroi de cet Eco-PTZ. Il n’est donc plus nécessaire de fournir la liste, les formulaires et devis des travaux concernés.

Attention toutefois aux délais, puisque le prêt devra être émis dans les 6 mois suivant la notification de l’ANAH. De plus, les travaux ne doivent pas avoir commencé plus de 3 mois avant l’émission de l’offre de l’éco-PTZ, et, ils devront être réalisés dans un délai de 3 ans à partir de l’émission de l’offre.

Il faudra ensuite justifier dans les trois ans suivant l’attribution de l’éco-PTZ que les travaux ont été réalisés en transmettant à la banque la décision du versement de MaPrimeRénov’ par l’ANAH.

Vous pouvez vous faire accompagner gratuitement par des conseillers spécialisés de France Rénov’ (tél : 0 808 800 700).

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Acheter à plusieurs : Opportunités, risques et solutions

En pratique, cela peut permettre à un parent d’aider son enfant à acquérir un logement, ou à plusieurs personnes d’acheter une plus grande surface qui sera divisée en différents espaces de vie. Cela peut également être la solution idéale pour acheter une résidence secondaire entre amis à moindre coût. Ou enfin, l’occasion de réaliser un investissement immobilier pour se constituer un patrimoine en mutualisant les coûts et en partageant les revenus locatifs, à hauteur des montants investis par chacun.

Si cet investissement n’est pas nécessairement plus complexe qu’un achat immobilier classique, il présente néanmoins certains risques, chaque partie
doit mesurer l’engagement pris sur le long terme. En effet, la banque exigera certainement la solidarité des co-emprunteurs : ainsi en cas de défaillance d’un d’entre eux, les autres seront tenus d’assumer sa part. Il est donc essentiel de se faire conseiller par un professionnel et de prévoir tous risques de litiges.

Le choix du cadre juridique est donc un point essentiel pour protéger chaque partie sur le long terme. Voici deux solutions qui existent pour encadrer un tel projet.

L’indivision

Certainement la solution la moins contraignante en terme de démarches et de fonctionnement, c’est le régime de base de l’acquisition immobilière à
plusieurs. Chaque indivisaire est propriétaire du bien et est responsable à hauteur de son investissement. L’acte d’achat doit détailler la part de chacun. Attention, si ce n’est pas le cas, en cas de vente, la répartition sera considérée comme équivalente entre les propriétaires.

Une des particularités de l’indivision est que les décisions doivent être validées à l’unanimité. Cette contrainte peut facilement être détournée en
rédigeant au préalable une convention d’indivision chez un notaire, qui permettra de fixer les règles à appliquer en cas de litige. Elle peut également prévoir un gérant. Chaque propriétaire peut décider à tout
moment de vendre ses parts : en effet, la loi stipule que « nul ne peut être contraint de demeurer dans l’indivision ». Les autres indivisaires bénéficient alors d’un droit de préemption ; s’ils ne peuvent racheter
les parts, le bien sera alors vendu. En cas d’héritage, la part du propriétaire décédé revient aux ayants droit, les autres propriétaires n’ont aucun droit
dessus.

La SCI

La Société Civile Immobilière est la solution qui offre le plus de protection et de souplesse aux propriétaires. Elle permet à chaque investisseur de
détenir des parts à hauteur de son investissement. Répartie sous forme de parts sociales, les associés sont solidaires, et nomment un ou plusieurs gérants. Les statuts permettent de prévoir les règles de fonctionnement de la société et les clauses de sorties possibles (approbation du cessionnaire, droit de préemption sur les parts cédées par les associés, ou dissolution…). Idéale également pour les investissements multiples, elle peut regrouper
plusieurs biens, et permet également de séparer la nue-propriété et l’usufruit. C’est le choix idéal pour transmettre un patrimoine à moindre frais. Cette solution présente cependant quelques inconvénients,
avec un formalisme et une gestion stricts, et, des frais inhérents à la gestion d’une société. En outre, sa constitution est délicate et nécessitera idéalement l’intervention d’un expert-comptable ou d’un avocat.

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L’achat sur plan : avantages & inconvénients

Avantages

Dans la cadre d’un achat sur plan, vous achetez un bien sur le point d’être construit ou en cours de construction par un promoteur. Aussi, ce bien répondra aux dernières normes en matière de performance énergétique, il vous offrira un meilleur confort thermique, et vous n’aurez pas de travaux à prévoir avant plusieurs années. L’achat sur plan offre également une certaine latitude pour personnaliser et adapter le logement à vos envies : cloisons, sols, peintures, salle de bain, ces options sont à définir en détail avec le promoteur.

Au niveau du coût les avantages sont également intéressants, avec des frais de notaire réduits allant de 2 à 3% dans le neuf contre 7 à 8% dans l’ancien. Par ailleurs, le paiement est échelonné et le déblocage des fonds se fait au fur et à mesure de l’avancée des travaux. Au quotidien, grâce à sa performance énergétique vous réduirez vos factures d’énergie.

Enfin, la loi impose plusieurs garanties qui sécurisent le projet. L’acquéreur est protégé contre les vices et les éventuelles anomalies de construction, avec la garantie de parfait achèvement et la garantie biennale. Une fois le logement terminé, la garantie décennale sécurise la solidité de la construction.

Inconvénients

Le principal inconvénient d’un achat sur plan est le délai, il faut compter entre 12 et 24 mois avant de pouvoir emménager ! Un autre frein est la difficulté que l’on peut avoir à se projeter dans le futur logement, les plans ne suffisent pas toujours. Heureusement il est souvent possible de visiter un logement témoin, d’accéder à des plans 3D ou visites virtuelles. Une fois conquis par le projet, il faudra également s’assurer de la fiabilité du promoteur et être vigilant sur le contrat proposé qui peut prévoir que le prix soit révisé selon un indice (index national du corps d’état). Enfin, si l’achat sur plan présente quelques avantages financiers, le prix au m2 demeure plus élevé que dans l’ancien.

Si le délai n’est pas un critère important pour vous, l’achat sur plan peut être une bonne opération, avec des contrats sécurisés via plusieurs garanties. Vous pourrez ainsi bénéficier d’un bien neuf, personnalisé selon vos goûts et qui offrira un confort répondant aux dernières normes en vigueur.

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La transmission d’un patrimoine immobilier

La donation
La donation est le moyen le plus utilisé pour préparer sa succession, elle permet de transférer la propriété de biens (mobiliers, immobiliers, argent) de son vivant, dès lors que le montant ne dépasse pas la part réservée aux héritiers.
Les parents ont ainsi la possibilité de transmettre, chacun, à chacun de leurs enfants une donation de 100.000€ tous les 15 ans en franchise de droits de donation. Il s’agit d’un acte irrévocable.

La donation en démembrement est une solution qui séduit de nombreux parents donateurs. Moins définitive que la donation en pleine propriété, elle consiste à scinder le droit de propriété entre l’usufruit et la nue-propriété. Ainsi, les parents continuent d’occuper leur bien et/ou de percevoir les loyers d’un bien locatif. Cependant, en cas de vente, l’accord des héritiers nus-propriétaires sera nécessaire. Cette solution permet de diminuer les droits de succession, ceux-ci étant indexés sur la nue-propriété et non sur la valeur totale du bien.

La SCI
Solution idéale pour éviter les situations d’indivision (qui implique l’approbation de tous les indivisaires pour la vente d’un bien). Elle se traduit par la transmission de parts sociales, la répartition de la succession est ainsi plus précise entre les héritiers. Elle permet également d’optimiser les donations et de favoriser la gestion des biens immobiliers avec de réels
avantages fiscaux et patrimoniaux. La donation de parts peut également porter sur la nue-propriété uniquement, afin de conserver l’usufruit.

Concrètement le patrimoine immobilier est apporté au sein de la SCI, et les parents peuvent ensuite céder progressivement des parts sociales. Gestion et droits des associés sont définis dans les statuts, ce qui permet une grande souplesse et peut éviter certains conflits entre les héritiers. Au décès du donateur les héritiers n’auront pas à payer de droits de succession sur les parts de la SCI.

L’assurance-vie
Si l’assurance-vie n’est pas, à proprement dit, adaptée à la transmission d’un bien immobilier, elle peut toutefois être utile pour permettre aux héritiers de s’acquitter plus facilement des droits de succession, surtout lorsque l’héritage est principalement composé d’immobilier et que les liquidités sont insuffisantes pour couvrir l’impôt dû pour la succession. Elle bénéficie d’ailleurs d’un traitement fiscal favorable.

Dans tous les cas, il peut être intéressant d’anticiper la transmission de son patrimoine via différentes combinaisons en fonction de chaque situation, afin de préserver au mieux les intérêts des futurs héritiers.

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Les 10 étapes de la construction d’une maison individuelle

Définir son budget : évaluer votre enveloppe financière en détaillant le montant de l’apport personnel, les revenus nets et les aides possibles (prêt à taux zéro, prêt à l’accession sociale…) vous permettra de déterminer votre capacité d’emprunt. Votre courtier va vous aider dans ces premières
démarches.

Trouver son terrain : Ciblez les recherches sur la zone géographique choisie. Différents interlocuteurs peuvent vous aider : agences immobilières, notaires, constructeurs. Il est indispensable de s’assurer de la qualité du terrain, de son environnement et du sous-sol. Consultez les plans du cadastre, si le moindre doute persiste, réalisez une étude de sol. La mairie devra également vous informer de la viabilité du terrain et vous délivrer un certificat d’urbanisme.

Les plans de la maison : Commencez par détailler point par point les éléments que vous souhaitez retrouver dans votre maison, le nombre et la disposition des pièces, l’orientation, les espaces de rangement, le type de chauffage etc… Le constructeur ou l’architecte mettront en forme vos désirs tout en respectant votre budget.
A ce stade vous avez défini clairement le cadre de votre projet, il peut à présent être formalisé avec la signature de l’offre de prêt.

La signature de l’offre de prêt : vous vous engagez sur une longue durée, aussi il est important d’étudier dans le détail les offres de financement de plusieurs banques et de veiller à bien prévoir l’ensemble des frais inhérents à la construction pour ne pas avoir de mauvaise surprise. Les conseils de votre courtier seront indispensables !

La signature notaire : elle reprend les détails des caractéristiques du terrain acheté et les informations relatives au financement et aux garanties.

Le dépôt du permis de construire : déposé en mairie, avec un délai d’instruction de 2 mois, il est impératif d’attendre sa validation avant d’entamer la construction.

Les démarches de viabilisation : pour l’eau, pour l’électricité et éventuellement gaz. A présent la construction peut démarrer pour une durée moyenne de 10/12 mois !

Le gros œuvre : Le gros œuvre consiste en la construction de l’ossature de la maison, tout ce qui a concours à la solidité et à la stabilité de l’édifice (fondations / terrassement / assainissement / soubassement / plancher / dalle / élévation des murs / charpente / toiture et huisseries).

Le second œuvre : ne participe pas à la structure porteuse de l’ouvrage, mais rend la maison habitable (isolation / étanchéité / cloisons intérieures / plomberie / électricité / chauffage).

Les finitions : Revêtements de sol / peinture / tapisserie etc.

La coordination des artisans est un élément clé pour que les étapes s’enchainent au mieux tout au long du chantier. Visitez régulièrement le chantier afin de vous assurer de la conformité des travaux réalisés.

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Appartement : les points à vérifier avant d’acheter

L’appartement
Lorsque vous visitez un appartement, portez une attention particulière aux murs et plafonds afin de vous assurez qu’aucune infiltration ne provient d’un appartement voisin. Soyez également attentif à l’isolation phonique et aux nuisances sonores qui pourraient se trouver à proximité (cage d’ascenseur, commerces, route etc.). L’idéal est de visiter le logement à différents moments de la journée et d’échanger avec les voisins. Si des travaux ont été réalisés dans l’appartement vérifiez bien qu’ils soient sur l’état descriptif de division du règlement de copropriété et qu’ils ne soient pas des annexions de parties communes.

Les parties communes
Dès votre entrée dans le hall, portez votre attention sur l’état des boîtes aux lettres, escaliers, jardins, parkings, caves etc. S’il s’agit d’un rez-de-chaussée, vérifie également le statut de l’espace extérieur exclusif ou collectif ? Dans tous les cas demandez le règlement de copropriété ainsi, vous pourrez vous familiariser avec les règles de vie de l’immeuble.

Les charges
La présence d’un gardien, l’entretien d’un ascenseur pour un étage élevé, la qualité de l’isolation, avec un chauffage collectif ou individuel, autant de points qui auront un impact sur le montant des charges. Alors renseignez vous de manière précise !

L’annonce doit d’ailleurs indiquer la quote-part annuelle des charges courantes relatives au bien. Consultez également les derniers procès verbaux d’assemblée générale afin de savoir si certains travaux ont été votés mais pas encore payés (ravalements, toiture, infiltrations etc.) – cela pourrait alourdir de manière importante le budget.

La possibilité de faire des travaux
Si vous envisagez de faire des travaux, consultez le règlement de copropriété afin d’être certain qu’ils sont réalisables, certains travaux nécessitent l’autorisation de l’assemblée générale des copropriétaires.

L’environnement
Lors la visite de l’appartement profitez-en également pour vous familiariser avec le quartier (transports, commerces, écoles), afin de déterminer notamment la présence d’éventuelles nuisances. Là encore, les voisins et commerçants pourront vous renseigner. Pensez également à évaluer les possibilités de stationnement à proximité. Enfin, consultez le Plan local d’urbanisme ou le Plan d’occupation des sols afin d’en savoir plus sur l’évolution possible du quartier.

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Réaliser une extension : nos conseils pour réussir

Le coût d’une extension varie en moyenne de 1500 à 3000 euros/m2, en fonction du type d’agrandissement choisi et des matériaux utilisés (ossature bois, parpaing…). Passons en revue les différentes options qui s’offrent à vous, ainsi que les formalités inhérentes à ces travaux.

Avant de choisir le type d’agrandissement souhaité, il est impératif de consulter le Plan Local d’Urbanisme et le Plan d’Occupation des Sols de de votre commune. Vous aurez ainsi une idée précise des dimensions et emplacements possibles, et, des contraintes urbanistiques liées à la réalisation d’une extension.

Plusieurs types d’agrandissement existent avec des coûts différents, le choix dépendra avant tout de la configuration actuelle de votre maison, et, des possibilités que permet la superficie de votre terrain.

L’extension de maison latérale
Il s’agit de la solution la plus courante, dès lors que la surface de votre terrain vous le permet. Il s’agit de prolonger la maison existante dans sa continuité. Vous aurez également la possibilité d’inclure un étage en suivant la hauteur de la construction initiale.

L’extension en surélévation
Cette solution qui consiste à ajouter un ou plusieurs étages est idéale pour les petits terrains mais plus coûteuse. Une ossature bois sera alors privilégiée afin de ne pas trop alourdir la construction existante.

L’extension en excavation
Elle permet de rendre un sous-sol habitable en creusant les fondations. L’inconvénient majeur est que cette extension sera peu lumineuse. Son intérêt dépend donc du type de pièce que l’on souhaite ajouter à sa maison (chambre d’amis, bureau).

L’extension annexe
Elle consiste à construire une annexe indépendante à la maison principale, elle implique donc une surface de terrain suffisante. Le choix de ce type d’agrandissement dépend également de la fonction que l’on souhaite donner à cette espace (bureau, habitation pour les invités).

D’autres types d’agrandissement moins onéreux sont également possibles : le plus simple et le moins cher est l’aménagement des combles qui ne comporte pas de réels travaux de construction mais uniquement de
l’aménagement, de l’isolation et la création d’une ouverture. La véranda peut également être une option moins coûteuse pour laquelle il existe un vaste choix de modèles et matériaux.

Concernant les formalités, un permis de construire pourra être exigé pour les plus grandes extensions ; pour une surface plus petite une simple déclaration de travaux sera suffisante. Toutefois, si la surface habitable de votre maison dépasse les 170m2 il faudra impérativement faire appel à un architecte, et déposer un permis de construire.

Dans tous les cas, consultez les règles locales d’urbanisme et, pensez à déclarer votre agrandissement à l’administration fiscale (dans les 90 jours qui suivent l’achèvement des travaux), et à votre assureur pour adapter votre contrat d’assurance habitation.

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Mettre un bien en location

Préparez votre bien pour la location
Avant de mettre votre bien en location, il est important de le préparer pour les futurs locataires. Cela peut impliquer des travaux de rénovation ou de rafraîchissement, ainsi que l’achat de nouveaux meubles ou équipements. Il est également important de nettoyer soigneusement le bien pour que les locataires puissent y emménager immédiatement. Assurez-vous que votre bien est conforme aux normes de sécurité et de santé en vigueur et que toutes les installations électriques, de plomberie et de chauffage fonctionnent correctement.

Fixez le loyer
Le loyer que vous allez fixer dépendra de plusieurs facteurs, tels que l’emplacement, la taille, l’état de votre bien, ainsi que de la demande sur le marché locatif local. Pour déterminer le loyer, vous pouvez consulter les annonces de biens similaires dans votre région, ou faire appel à un agent immobilier. Attention, le loyer est parfois plafonné ! Renseignez-vous impérativement auprès des professionnels de votre ville.

Trouvez des locataires
Il existe plusieurs moyens de trouver des locataires pour votre bien, tels que les petites annonces, les sites de location en ligne ou les agences immobilières. Vous pouvez également utiliser les réseaux sociaux ou le bouche-à-oreille pour diffuser l’information autour de vous. Faites une vérification approfondie des antécédents des locataires potentiels et de leur solvabilité.

Rédigez un contrat de location
Utilisez un contrat de location clair et complet qui spécifie les termes et conditions de la location, il devra préciser le montant du loyer, la durée de la location, les dépôts de garantie et les frais d’entretien.

Gérez la location
Une fois que vous avez trouvé des locataires pour votre bien, il est important de gérer la location de manière rigoureuse, que ce soit pour la collecte du loyer, le traitement des demandes des locataires ou le maintient du logement en bon état.

Envisagez de souscrire une assurance PNO (propriétaire non occupant).
Cette assurance est généralement un bon complément en cas d’insuffisance de garanties de l’assurance habitation du locataire.

En conclusion, la mise en location d’un bien immobilier peut être une expérience rentable, mais cela nécessite une bonne préparation et une gestion rigoureuse. Si vous avez des questions ou des préoccupations, n’hésitez pas à consulter un professionnel de l’immobilier ou un avocat spécialisé dans les questions de location.

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Prévenir les cambriolages durant vos vacances

Utilisez des éclairages à détection de mouvement ou des minuteries pour simuler une présence lorsque vous êtes absent.
Cela donne l’illusion que quelqu’un est à la maison et dissuade les cambrioleurs. Assurez-vous également que votre propriété est bien éclairée pendant la nuit. Les cambrioleurs préfèrent agir dans l’obscurité pour ne pas être repérés.

Ne laissez pas de signes évidents d’absence
Demandez à un voisin de ramasser votre courrier, vos journaux et tout autre paquet laissé sur le pas de votre porte. Une boîte aux lettres débordante ou des journaux empilés peuvent indiquer que personne n’est à la maison. Si vous vous absentez pendant une période prolongée, envisagez de faire rediriger votre courrier vers une autre adresse.

Évitez de parler de votre absence sur les réseaux sociaux !
Ne publiez pas d’informations sur votre absence ou sur la durée de vos vacances. Les cambrioleurs peuvent utiliser ces informations pour cibler votre domicile.

Installez un système de sécurité
Un système d’alarme peut dissuader les cambrioleurs et alerter les autorités en cas d’intrusion. Choisissez un système avec des capteurs de mouvement, des détecteurs d’ouverture de porte et des caméras de surveillance.
Ne cachez pas de clés à l’extérieur : les cambrioleurs sont souvent bien informés sur les cachettes courantes.

Enregistrez vos biens de valeur
Faites une liste détaillée de vos biens de valeur et prenez des photos. Conservez ces informations dans un endroit sûr au cas où vous auriez besoin de les réclamer à votre assurance en cas de cambriolage.

Pensez également à prévenir certaines personnes pour assurer la sécurité de votre domicile et de vos biens avant votre départ.
Informez vos voisins de confiance : demandez-leur de garder un œil sur votre propriété. Donnez-leur vos coordonnées afin qu’ils puissent vous contacter en cas d’urgence. Ils peuvent notamment relever votre courrier, et signaler toute activité suspecte.

La famille et les amis proches
Informez votre famille et vos amis proches de vos dates de vacances, afin qu’ils sachent que vous êtes absent et puissent être contactés en cas d’urgence.

La police municipale
Dans certaines régions, vous pouvez signaler votre absence à la police municipale. Ils peuvent effectuer des patrouilles de routine autour de votre domicile pour dissuader les cambrioleurs. Votre service de sécurité : si vous avez un système d’alarme ou de surveillance, contactez votre fournisseur de services pour les informer de votre absence.

Grâce à ces précautions vous contribuez à la sécurité de votre domicile pendant votre absence et à la prise de mesures appropriées en cas d’urgence.